Le 06 Février 2018, le Tribunal d’instance de Paris a rappelé pour le bailleur la possibilité d’exercer une action directe contre la plateforme AIRBNB.
En l’espèce, le locataire avait transformé le logement (résidence principale), en une activité permanente et occulte de meubleé touristique.
La juridiction a souligné que le bailleur est fondé à solliciter de la plateforme Airbnb des dommages-intérêts pour avoir fourni au locataire, le moyen de s’affranchir de ses obligations contractuelles et avoir laissé persister abusivement une situation manifestement illicite.
